Voici les étapes nécessaires à la préparation d'une trace pour l'équipe de développement de Bluefish.
Procédure X.1. Exécuter bluefish sous gdb
Récupérez la dernière version CVS (voir Section 4, « Version CVS » pour de plus amples informations)
À partir du répertoire racine du source de bluefish, bluefish-gtk2, exécutez : autoconf
Il se peut qu'en fonction de votre système vous deviez définir certaines variables d'environnement avant d'exécuter autoconf, ou que vous deviez passer certains drapeaux à autoconf, ou bien encore que vous deviez appliquer certaines rustines.
Puis exécutez ./configure --with-debugging-output
Encore une fois, il se peut que vous deviez ajouter certains drapeaux en fonction de votre système.
Une fois la configuration de bluefish effectuée de manière satisfaisante, exécutez : make clean pour supprimer tous les fichiers inutiles.
Puis exécutez make pour compiler bluefish.
N'exécutez pas make install car cela supprime les symboles de débogage de l'exécutable.
Exécutez bluefish sous gdb via : gdb src/bluefish. Ainsi, vous aurez accès à une version de bluefish contenant les symboles de débogage, ce qui n'est pas le cas si vous exécutez gdb bluefish ou gdb /prefix/bin/bluefish, car ces binaires ne contiennent plus aucun symbole de débogage.
Après que gdb est lancé, tapez r pour démarrer la session de débogage.
Essayez de reproduire le plantage dans bluefish.
Copiez et collez les 50 dernières lignes de sortie de gdb dans un fichier texte.
Tapez bt dans gdb pour obtenir une trace arrière, et copiez-la aussi dans le fichier texte. Si la trace arrière est très grosse, ne copiez que les 50 premières lignes.
Enregistrez le fichier texte et compressez-le en exécutant gzip textfile.
Quittez gdb en tapant q
Soumettez le rapport de bogue (voir les instructions à la Section 2, « Soumission d'un rapport de bogue »).